Lundi 10 décembre 2007 à 23:20

    D'abord il y avait eu un jongleur de contact, avec sa boule en verre, le premier arrivé, qui avait débarqué en laissant glisser son sac à dos le long de ses épaules, et s'était assis dans l'herbe pour sortir son matériel. Le regard lunaire, il avait commencé quelques passes en fermant les yeux.

Et puis les autres étaient arrivés. D'abord un baton du diable, et puis quelques filles, des bolas surtout. Enfin les cracheurs, accompagnés de quelques staffeurs. En dernier lieu on avait vus arriver les massues, et quelques autres jongleurs à balles. Ils étaient venus en groupe, et elle était avec eux. Mais différente, cette fois, étrangement différente. Sublime. Ils y avait eu quelques quolibets, quelques sifflets même ; elle avait laissé son habit rock de tous les jours pour porter, à la suite d'un pari, ce qu'on lui avait décrit comme un habit de salope, et qui était, sur elle, étrangement superbe. Thomas leva les yeux de sa boule de contact, et quand il la vit, il ne la reconnut pas. Autour d'elle les jongleurs avaient commencés à s'entraîner pour la soirée qu'ils allaient performer, et elle souriait, épanouie, heureuse, au milieu de cette étrange danse à laquelle il ne participait pas.
Elle finit par remarquer son regard, et tournant sa tête vers lui, elle sourit et rosit légèrement. Dans un semi rire, il sortit simplement son portable de sa poche, et commenca à la filmer. Elle rit à son tour, gênée, et fit quelques mimiques devant la caméra.

Et dans ce décor de formes rapides et de passes de balles de jonglage, entre l'evanescence des choses et des mouvements, son sourire n'était destiné qu'à lui, et rêveur, il l'observait.




 Bon ça ne passe pas, l'écriture n'est pas bonne du tout, mais en fait l'idée de l'adapter en scénario m'est venue tout en l'écrivant, alors ne faites pas chier, là je crée.


Dimanche 9 décembre 2007 à 23:47

        Si je n'ai pas posté d'articles depuis une semaine, c'est principalement parce que je n'avais rien à dire.

Gowing nowhere. Going nowhere. Going nowhere. Going nowhere.


Débrouillez vous avez ça, je pars me coucher.

Mardi 27 novembre 2007 à 21:50

    J'avais posté un article Lundi, de ma salle info, qui apparemment n'as pas été publié. Etrange, étrange.

Je suis un peu fatigué, revenant de manifestation à Paris mais je tiens à vous redire ce que j'avais marqué dans mon article en plus abrégé: "Je ne peux plus déplacer l'ordinateur fixe dans ma chambre et n'ayant pas un rond, mon ordinateur portable c'est pas avant au minimum un mois, donc je pourrai passer moins forcément. Demain après midi, je posterai, si je le peux, mais je pense que ça devrait se faire.

Cette après midi, la manif' était bien sympathique, sans problèmes, pas de casseurs, on a chanté "Playmobil, en avant les histoires" devant les CRS, enfin bon, une bonne ambiance, quoi. En plus je me suis fait interviewer pendant cinq minutes par "Le mouv' " (Attention !), peut-être entendrez vous votre grand Loukoum sacré diffusé sur les ondes, bientôt...




Et puis plus que tout, ce qui m'a éclairée ma soirée, c'était cette très jolie fille dans le car, tout en sourire,  des longs cheveux qui débordent d'une belle casquette de demoiselle, des yeux qui donnent envie de rire, et une voix pétillante.



Laura, tu étais sûrement comme les autres, sauf que les autres, je les oublierai.

Toi non.


Mercredi 21 novembre 2007 à 20:27

    Est ce que Blaise Pascal avait raison ? Est ce que le bonheur ne se réduit finalement pas à une recherche perpétuelle de ce bonheur ? Est ce que le plaisir ne se trouve finalement pas dans la recherche et les souffrances, plutôt que dans la phase qui suit l'apaisement de la découverte ? Est ce que nous ne nous échinons pas à trouver simplement pour être occupés à quelque chose ?

Et maintenant que tout va relativement bien, qu'est ce que je suis censé faire ?


Je ne sais même plus comment en rire.



Lundi 19 novembre 2007 à 19:14

    Pour ce cent cinquantième article, je tenais à vous faire prendre dix minutes de votre temps, et à aller voir un blog que j'aime pour sa simplicité et sa force d'écriture, triste et tranquille. Je n'en dis pas plus, ne vous fiez pas au titre, il n'est pas révélateur, ou si peu, du contenu. Il n'y a pas de superbe design, sur ce blog, même pas de premium, aucune belle formule, pas de playlist de chansons ou tant de facilités qui font aimer ou non un blog. Là bas il n' a que ses textes, et ses dessins. Et c'est peut être ce que j'aime le plus. J'agis un peu sur un coup de tête, mais lire les textes de cette amie alors que je n'allais pas très bien hier m'a fait le plus grand bien. Je lui dois bien ça.


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