Chut. Admirez.
Distantwaves
Cent mille et une nuits de cauchemars.
Jeudi 13 mars 2008 Ã 20:07
A part le fait notoire que je n'ai rien à dire, je n'ai pas grand chose à ajouter. Bien sur je pourrai vous photographiez ma dédicace de Manu Larcenet où vous retranscrire un passage de mon carnet Black'n'Red, mais cela voudrait dire choper l'appareil photo, où tout réecrire, et puis c'est long. Alors demain, on va dire.
A part ça alors que je staffe depuis septembre, que je fais [mal] de la boule de contact, ce soir je viens d'apprendre à jongler à trois balles. Je me considère donc comme un vrai jongleur, un fort, un beau, un viril, un qui sent l'after-shave, la clope, et le kerdane à cinq mètres.
Cet article est inutile, et Pyrus à son violon et son premier Mac !
Note : J'ai écrit cet article hier soir à minuit, donc ça ne vaut pas, j'en réecrirai un ce soir.
Dessin de Nancy Peña dont je vous conseille fortement de lire les livres.
A part ça alors que je staffe depuis septembre, que je fais [mal] de la boule de contact, ce soir je viens d'apprendre à jongler à trois balles. Je me considère donc comme un vrai jongleur, un fort, un beau, un viril, un qui sent l'after-shave, la clope, et le kerdane à cinq mètres.
Cet article est inutile, et Pyrus à son violon et son premier Mac !
Note : J'ai écrit cet article hier soir à minuit, donc ça ne vaut pas, j'en réecrirai un ce soir.
Dessin de Nancy Peña dont je vous conseille fortement de lire les livres.
Lundi 10 mars 2008 Ã 0:17
Voilà ce que j'apelle un vrai ami. Le jongleur c'est lui, le chanteur c'est moi, mais je sais jongler, et il saurait chanter. En même temps lui, c'est moi, alors.
Ps: Résumé de ces trois derniers jours et photo de la dédicace à venir. En plus Manu Larcenet va passer sur ce blog. Monsieur, si vous me lisez je vous jure mes grands dieux (et ils sont nombreux) que je posterai un article fortement intéressant, bientôt. D'ailleurs pour faire bonne figure j'écris ici une citation de Pierre Desproges qui m'a déprimé pour la journée lorsque je l'ai entendue :
"Regardons s'agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à 100 à l'heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d'un coup ça s'arrête, sans plus de raison que ça n'avait commencé, et le militant de base, le pompeux pdg, la princesse d'opérette, l'enfant qui jouait à la marelle dans les caniveaux de Beyrouth, toi aussi à qui je pense et qui as cru en Dieu jusqu'au bout de ton cancer, tous, tous nous sommes fauchés un jour par le croche-pied rigolard de la mort imbécile, et les droits de Âl'homme s'effacent devant les droits de Âl'asticot."
Ps: Résumé de ces trois derniers jours et photo de la dédicace à venir. En plus Manu Larcenet va passer sur ce blog. Monsieur, si vous me lisez je vous jure mes grands dieux (et ils sont nombreux) que je posterai un article fortement intéressant, bientôt. D'ailleurs pour faire bonne figure j'écris ici une citation de Pierre Desproges qui m'a déprimé pour la journée lorsque je l'ai entendue :
"Regardons s'agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à 100 à l'heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d'un coup ça s'arrête, sans plus de raison que ça n'avait commencé, et le militant de base, le pompeux pdg, la princesse d'opérette, l'enfant qui jouait à la marelle dans les caniveaux de Beyrouth, toi aussi à qui je pense et qui as cru en Dieu jusqu'au bout de ton cancer, tous, tous nous sommes fauchés un jour par le croche-pied rigolard de la mort imbécile, et les droits de Âl'homme s'effacent devant les droits de Âl'asticot."
Vous pouvez aller vous pendre, maintenant.
Vendredi 7 mars 2008 Ã 15:15
Comme vous le savez sûrement tous, et moi maintenant grace à Maky, le dernier album de Manu Larcenet vient de sortir dans les bacs. Or il se trouve que ce dernier album clôt ma série préférée, qui est pour moi le meilleur exemple de perfection absolue, autant dans le dessin que dans l'émotion scénaristique, il s'agit bien sur du "Combat Ordinaire."
Alors au diable mon bac blanc, mon groupe de musique, la rentrée, le RPG chez Dimitri, les devoirs de Physique et autres superficialitées du même genre, je m'en vais sur Paname l'acheter dès ce soir, et demain, après la diffusion des Virtuoses au MK2 quai de Loire, et sans doute après avoir parlé à l'auteur avant la séance, je m'en irais lui faire DÉDICASSEEEEEEEER !!!!
Quand au lendemain, Ã dix huit heures, je retrouve Aleatoire.
Elle est pas belle la vie ?
Alors au diable mon bac blanc, mon groupe de musique, la rentrée, le RPG chez Dimitri, les devoirs de Physique et autres superficialitées du même genre, je m'en vais sur Paname l'acheter dès ce soir, et demain, après la diffusion des Virtuoses au MK2 quai de Loire, et sans doute après avoir parlé à l'auteur avant la séance, je m'en irais lui faire DÉDICASSEEEEEEEER !!!!
Quand au lendemain, Ã dix huit heures, je retrouve Aleatoire.
Elle est pas belle la vie ?
