Jeudi 18 octobre 2007 à 23:30

    Ce soir j'ai comme un grand élan de détresse, alors je viens ici, comme à chaque fois que je n'ai nulle part où aller. Ce soir j'écris comme si je faisais tout sortir, parce que je suis en rage contre moi-même. Ce soir ça fait trois fois que j'essaye de t'appeler et que ça sonne occupé, donc sans possibilité de te laisser de messages. Ce soir ça fait trois mois piles que je t'ai pris la main et que je t'ai embrassée. Et je m'étais dit que j'allais pas faire le con et ne pas oublier. C'était mal me connaître. Tu t'en foutais surement de cette date, ou du moins tu voudrais peut être, et en tout cas, tu n'aimeras pas voir cet article lu par trois cent personnes. Mais comme je l'ai dit, quand des fois je me sens triste et inutile, je viens raconter ici mes déboires, et on en redemande. Je me sens con, aussi, d'avoir loupé le moment. Tu ne m'en voudras peut-être pas, moi je m'en veux déjà.
J''oublie souvent des dates, des actions, des événements, ou des calculs. Mais il y a certaines choses qui sont restées gravées dans mon esprit.

Je n'oublie pas la douceur de ta main, et la puissance pour nos lèvres, l'exaltation du toucher, l'enivrement de te tenir serrée dans mes bras. S'asseoir à deux dans un canapé, rire aux même blagues. Se frôler.
Tout ça, je ne l'oublie pas. Et c'est sans doute ça, le plus important. Parce quand toutes les dates seront passées, quand tout sera parti, c'est ça qu'il nous restera.

Love U.

Jeudi 18 octobre 2007 à 21:15


    Une courte avant d'aller manger.

Bertant Cantat vient de sortir de prison après avoir tué sa femme il y a quatre ans, il retourne à la tête de Noir Désir. Vu les récents événements, le groupe change de nom. Comment se renomment ils ?

...

Supertramp.


(Et là, pour l'occasion, je m'accorde un smiley: XD)


Lundi 15 octobre 2007 à 19:37




    23.08.07

               "Je suis revenu sur la plage de Bandol, comme tous les ans depuis que je suis gamin. L'année dernière, j'y avais fait la rencontre d'une très jolie fille. Parfaite en tous points, je cherchais où était le problème et j'ai beaucoup souffert de sa souriante indifférence. Et puis un an plus tard j'ai fini par comprendre en revenant sur la plage. Elle n'avait plus rien de cet air magique qu'elle avait alors. J'ai tenté d'apercevoir plusieurs fois Albane au balcon de son appartement. Elle ne s'est pas montrée et c'est sans doute mieux comme ça. J'ai fini par comprendre qu'il fallait que je prenne cette histoire comme ce qu'elle était, un agréable et étrange moment de rapprochement entre ma solitude et son sourire. Je suppose que son visage, et sa voix finiront par s'effacer. Déjà, je ne distinge plus que ses contours. Ils sont flous, mais auréolés de cheveux d'un blond très pâle, presque blanc. Non ce n'est pas l'histoire de ma vie, personne ne l'écrira, à part moi. Mais si il y a une chose que j'apprécie, assis sur ce rocher, au milieu de cette plage dont j'ai perdu le ravissement, c'est qu'elle me rapelle la nostalgie de cette histoire qui n'avait pas su commencer."



Mercredi 10 octobre 2007 à 23:17

     
    (Pour tous les pervers qui sont tombés sur cet article à cause du titre, alors  qu'ils cherchaient de quoi se rincer l'oeil à moindre frais pour agrémenter quelques charmantes activités nocturnes, bienvenue.)

 Je viens juste de finir mon commentaire composé et je suis tellement crevé que je ne passerai sûrement pas sur msn ce soir. Désolé à tous ceux qui auraient espérés profiter de ma présence pour me vendre du viagra ou me demander de mes nouvelles à grand renforts de mort de lol, ou tout simplement de s'enquérir de ma santé.

De toute façon il y en aura toujours pour gueuler... Ça le scandale, ils aiment, les voraces... Toujours sur mon dos, à me vouloir, me demander, m'empoisonner... Rha, je les hais ! Je les hais !! Raclures communistes !!!

...

...


Et ben d'abord vous vous souvenez de cette chanson stupide que l'on vous a tous fait chanter en primaire : "Il s'appelait Stewball, c'était un cheval blanc... " Oui ?


    ET BEN STEWBALL CA VEUT DIRE COUILLES DE RAGOÛT !     VOILA !




                                   
Nonmaisho.


Lundi 8 octobre 2007 à 13:10


   

    Je tenais à poster un article sur cette fantastique bande dessinée que j'ai acheté il y a quelques temps, "comme un lundi" à la fnac, au rayon indépendant. J'ai été enchanté de lire cette bd, qui est étonnament touchante et extrèmement bien réussie. Le comique de situation, fait de moments de tous les jours est vraiment drôle, déjà, et pousse plus loin à une réflexion sur le thème des années qui passent, thème dont les auteurs font grand usage, ou sur d'autre thèmes beaucoup plus sérieux que ne le laisserait penser les vignettes au premier abord. Pour exemple, cette vignette ou le grand père se regardant dans la glace se voit enfant se faire une grimace est extraordinaire de poésie. Contrairement à tous les albums bourrés de sang, ridiculement héroic fantaisistes et étaleurs de sentiments, James arrive en distillant les images touchantes au compte goutte à créer de véritables moments de magie, discrets et légers. Et la modestie dans le monde de la BD, c'est rare.


Comme un Lundi, aux éditions six pieds sous terre.



    Et comme je ne peux pas y résister :




    Je ne peux que vous conseiller d'aller faire un tour sur son blog qui fourmille de ce genre de notes en cliquant sur la phrase qui va suivre :



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