Et je rajoute cet article car je suis scandalisé que personne n'ait posté d'articles à 01:50.
A croire que les gens dorment. C'est scandaleux.
Jeudi 6 mars 2008 Ã 1:51
Jeudi 6 mars 2008 Ã 1:24
Ma journée fut constituée entre regarder le début de la saison 2 de Skins - et même que c'est absolument horrible dans la boîte avec Sid et Tony quand Sid craque, mon dieu j'en ai le coeur serré comme une étudiante qui a ses règles le jour où elle voulait se faire sauter par son prof de géographie pour avoir la moyenne à l'interrogation écrite sur "Le Caire, ville nouvelle."- continuer Skins (Haaaaaa mais non c'est trop tristeuuu), expérimenter des nouveaux sons à la basse ("Wouhaaa mais jouer un ré et un sol en même temps c'est d'enfeeer !") être à la limite de l'explosion (comme d'habiituuuuuuudeuuu !) et puis surtout à lui créer
Mardi 4 mars 2008 Ã 23:43
J'aime beaucoup cliquer sur le lien "ajouter un article", car je ne sais jamais à ce moment précis, ou du moins pas en détail, si pas du tout, ce que je vais écrire pour vous dans les minutes qui suivent. Souvent je me rapelle d'un moment de la journée, d'un instant qui m'as marqué, d'une anecdote. Et puis quelques fois j'arrive totalement en bordel, sans rien du tout de prévu, genre maintenant. Heureusement, mon ordinateur recèle de choses à vous faire découvrir. Et ce soir, deux vidéos, donc qui vous amuseront, je l'espère bien : Jimmy Kimmel et Sarah Silverman un présentateur et humoriste américain, et sa femme.
Pour ceux qui n'ont pas une maîtrise totale de l'anglais, bien que le sujet principal soit assez claaair, Sarah est la petite amie de Jimmy Kimmel, et elle a décidé de lui révéler un petit secret :
/font>
Ce à quoi Jimmy Kimmel répondit, non sans humour, par une autre vidéo, qui est ci dessous. A voir l'une après l'autre donc, malgré ces affreuses censures américaines, c'est tout de même savoureux :
Lundi 3 mars 2008 Ã 18:34
Celà fait soixante trois jours que je n'avais pas posté d'articles. Je pourrai surement dire que j'étais en dépression, mais les dépressions, sur internet, ça n'existe pas, encore moins quand on a aucun motif.
Alors on va simplement dire que j'hibernais.
Et puis il y a deux jours maintenant, il a fait vraiment soleil, et chaud. J'ai ouvert ma fenêtre, et j'ai vu la première abeille de l'année, qui volait contre le mur blanc. Sur le coup, j'ai été enchanté. Je me suis dit que j'allais beaucoup mieux, et qu'il fallait que je réouvre ce blog. Même si.
Alors en soixante jours, un groupe qui fonctionne un peu, un concert réussi, et puis cette envie de basse, plus présente. Et puis elle, qui est devenue chaque jour un peu plus présente, et qui me manque déjà alors qu'elle est partie seulement dimanche. L'absence fait réaliser beaucoup de choses. Mais j'en parlerai plus en détails.
Et puis naturellement l'isolement, le dégoût, la colère, la dépression. J'avais écrit ça :
"Pourtant tu te lèves le matin, et tu te couches le soir, mais tout est gris, alors tu fixes un point inexistant, et tout se serre."
Cette simple phrase résume mon mental, pendant 90 % de ces soixantes jours. Mais on en parle pas, on se tait, et on n'y pense plus. C'est comme ça.
Je pensais à ce blog bien souvent, et je me disais à chaque fois, "Tu le réouvriras demain."
Alors on va simplement dire que j'hibernais.
Et puis il y a deux jours maintenant, il a fait vraiment soleil, et chaud. J'ai ouvert ma fenêtre, et j'ai vu la première abeille de l'année, qui volait contre le mur blanc. Sur le coup, j'ai été enchanté. Je me suis dit que j'allais beaucoup mieux, et qu'il fallait que je réouvre ce blog. Même si.
Alors en soixante jours, un groupe qui fonctionne un peu, un concert réussi, et puis cette envie de basse, plus présente. Et puis elle, qui est devenue chaque jour un peu plus présente, et qui me manque déjà alors qu'elle est partie seulement dimanche. L'absence fait réaliser beaucoup de choses. Mais j'en parlerai plus en détails.
Et puis naturellement l'isolement, le dégoût, la colère, la dépression. J'avais écrit ça :
"Pourtant tu te lèves le matin, et tu te couches le soir, mais tout est gris, alors tu fixes un point inexistant, et tout se serre."
Cette simple phrase résume mon mental, pendant 90 % de ces soixantes jours. Mais on en parle pas, on se tait, et on n'y pense plus. C'est comme ça.
Je pensais à ce blog bien souvent, et je me disais à chaque fois, "Tu le réouvriras demain."
Et puis demain à bien fini par arriver.
Dimanche 30 décembre 2007 à 0:57
Encore une journée bien remplie pour le Master Mac Diwa. Après après avoir passé la matinée et l'après midi à ne faire absolument rien, il est sorti avec quelques collègues maîtres du monde pour aller à la patinoire, où, heureux comme un moine dépucelé par une intervention divine, il a pu montrer ses talents de patiniste après avoir menti comme un arracheur de dents (antipathique) en prétendant que c'était la première fois, alors que comme le savent tous nos [con]citoyens, c'était bien sur la deuxième.
Le Master Mac Diwa s'en va demain vers la Bretagne dormir un peu plus et au passage bosser son Français (pas content) dans une atmosphère vive et salée. Il ne rentrera que le 4 Janvier, surement heureux de recommencer à aller au lycée car voyez vous, il est totalement masochiste.
J'ai hâte de revenir au printemps pour recommencer le jonglage et les après midi jardin Garnier à Provins/Je déteste les gens qui se vantent/et j'ai une très jolie petite copine bonsoir.
Le Master Mac Diwa s'en va demain vers la Bretagne dormir un peu plus et au passage bosser son Français (pas content) dans une atmosphère vive et salée. Il ne rentrera que le 4 Janvier, surement heureux de recommencer à aller au lycée car voyez vous, il est totalement masochiste.
J'ai hâte de revenir au printemps pour recommencer le jonglage et les après midi jardin Garnier à Provins/Je déteste les gens qui se vantent/et j'ai une très jolie petite copine bonsoir.