Je suis parti samedi, sans presque rien prévoir, dans le sud de la France. Je vous écris donc cet article entre les vignes et la mer, pour vous assurer de mes meilleurs sentiments. La
spectaculaire absence de toute connexion internet, réseau téléphonique et autre accès au monde moderne de l'endroit où je loge -bien qu'on y fasse une
excellente cuisine- ne m'as pas laissé de quoi vous répondre, et m'interdit même de l'appeler en soirée, ce qui est assez exaspérant, pour ne pas dire plus. Je n'ai pas particulièrement envie de rentrer, mais je préférerais qu'elle soit là , tout de même.
Ne pouvant rien faire de mes journées, j'écris donc, projet, scénarios et coup de fils de Spielberg (Harold, son frère) affluent donc sur ma table de travail. Enfin c'est vrai qu'en ce moment je bosse pas mal, tout de même. Là je suis reparti, après avoir livré un court métrage, pour en écrire un autre, je continue mon scénario de bande dessinée, et j'écris des sketchs entre les deux pour me détendre.
Si j'écoutais de la musique classique plus souvent, j'aurais pu donc faire cette boutade imbécile:"
A quelque chose, Malher est bon."
Sinon c'est décidé, sitôt mon permis passé, ceci est à moi.
Ainsi je pourrai faire
vroum-vroum sur les routes de France, et j'aurais sacrément la sse-cla, comme on dit dans ma banlieue de 200 habitants. (34 après les jours de grande chaleur.)
Adieu donc, belle Eugénie et autres lecteurs.