Dimanche 27 mai 2007 à 14:10

   
    Et oui, comme vous pouvez le voir, je n'oublie jamais rien. Je n'ai donc pas oublié que je devais un dessin à Escapade !








Voilà, c'est naturellement vite fait mal fait, et l'encrage est pourri, je testais un nouveau stylo >< A quand les Pentel ...




[Article posté (avec honte) le lundi 26 Mars 2007]

Lundi 21 mai 2007 à 23:05

    Et me revoilà ce soir, au sortir d'un très bon film, Molière, avec Romain Duris et Fabrice Luchini... Un couple d'acteurs étonnant.

 

Agréable surprise d'ailleurs, ce film, moi qui n'en avait pas entendu de bonnes critiques, il s'avère être une oeuvre très réussie au scénario très fin, évitant les lourdeurs et les facilitées. Les acteurs sont pils-poils, dans un répertoire de language qui est vraiment difficile à rendre naturellement, et le film au final nous laisse une excellente impression.

 

Mais si il y a bien une chose qui m'as marqué, pendant cette projection, ce n'est pas l'intrigue du scénario, c e n'est pas la finesse des acteurs. Non, c'est tout autre chose, à la fois très simple, et magiquement merveilleux.

 

 

"400 ans après, dans la salle, le public riait toujours aux répliques de Molière..."

 

 

Et ça c'est fantastique.

 

 


 

 

"Molière, un film de Laurent Tirard, avec Romain Duris et Fabrice Luchini."



[ Posté  le Vendredi 9 Mars 2007 à 23:12 ]

Lundi 21 mai 2007 à 22:14

 

    Le Prisonnier est une série anglaise diffusée entre 1967 et 1968 qui comprend dix sept épisodes en une saison. Originalement, elle se raccorde, de par son acteur principal, Patrick Mac Goohan, et de sa situation initiale avec la série "Destination Danger", qui suit les péripéties d'un agent secret du MI 6. A la fin de la série, le héros donne sa démission... Et voici le synopsis du Prisonnier:

 

Un agent secret (interprété par Patrick McGoohan) démissionne avec pertes et fracas, et rentre chez lui au volant de sa Lotus Seven (Caterham) qu'il a fabriqué lui-même. Alors qu'il est en train de faire ses valises dans son appartement londonien, un gaz anesthésiant est diffusé dans la pièce. À son éveil, il se retrouve dans le Village, une communauté insulaire constituée de villageois numérotés comme lui et, d'autre part, de leurs geôliers, deux classes indifférenciables. Il sera désormais le numéro 6 et n'aura de cesse de s'évader du Village.

 

(Source Wiki)

 


 

Le prisonnier est en fait un agent britannique retenu par une organisation secrète dont on ne saura jamais l'identitée, dans un village mystérieux, village dont il essayera inlassablement de s'évader. Ce village, situé au pays de Galles se nomme Portmeirion. En grand fan de la série, j'ai d'ailleurs eu le plaisir de le visiter plusieurs fois, avec toujours le même plaisir.

 

L'accroche du générique est maintenant culte, et vous l'avez forcément entendue quelque part :

 

– Où suis-je ?

– Au Village.

– Qu'est ce que vous voulez ?

– Des renseignements.

– Dans quel camp êtes-vous ?

– Vous le saurez en temps utile...

Nous voulons des renseignements,

des renseignements,

des renseignements.

– Vous n'en aurez pas !

– De gré ou de force, vous parlerez.

– Qui êtes-vous ?

– Je suis le nouveau Numéro Deux.

– Qui est le Numéro Un ?

– Vous êtes le Numéro Six.

– JE NE SUIS PAS UN NUMÉRO,

JE SUIS UN HOMME LIBRE !

– Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! ...

 

Alors qu'on ne le dit pas clairement dans la série, on aura compris que c'est malheureusement son propre camp, qui retient Le Prisonnier, les services secrets britanniques eux même.

 

Etrangement, il est beaucoup plus agréable de regarder cette série en version française, car Patrick Mac Goohan à le bonheur d'être doublé par l'immense Jacques Thébault, un, si pas Le meilleur acteur de doublage de tous les temps.

 

Et voici le générique, culte lui aussi, pour clore cet article sur cette fabuleuse série, absolument à voir.



Vendredi 18 mai 2007 à 18:25

Dans la série des incontournables :


 


Tree of the Dead, by Silverwolf.





 -Ho, and I'm in love with her, by the way.

-Why ?

-Maybe because she's beautiful.

 Cette Litanie qui m'Ennivre autant qu'elle m'Assassine.




[Article posté le Dimanche 18 Février 2007]

Mercredi 16 mai 2007 à 16:57


Vidéo extraite du film des Monty Python, Le sens de la vie. Je vous mets une traduction approximative ci dessous, j'ai remplacé par des expressions similaires certaines parties de phrases que je n'arrivais pas à entendre, mais le sens général reste le même.

 "-Blacket, accompagné de Stoody vous prenez le flanc gauche, Martin, Spejer, vous me neutralisez les mitraillettes à droite !

 -Une seconde, sir, vous n'y arriverez jamais seul, laissez moi venir avec vous !

 -Faites ce que je vous dis, mon vieux !

 -Ho, sir... Si... Si nous ne nous revoyons pas, j'aimerais juste dire que ça a été un réel privilège de combattre à vos côtés, sir.

 -Oui, bon, ce n'est pas vraiment le moment ni l'endroit pour un discours d'adieu hein !

 -Non, non, mais il faut voir la vérité en face, enfin... On risque de ne jamais se revoir, donc...

 -Oui, d'accord Blacket, merci beaucoup !

 -Non, un moment sir... 'voyez, moi et les gars on a un peu trainés dans le coin et... On vous acheté quelque chose. On vous a acheté ça, sir.

 -... Ho, et bien... Je ne sais pas quoi dire, quelle délicate attention, c'est...Merci, merci à vous tous! Mais je crois qu'on devrait s'y mettre ça...

 -Attendez, sir, on a quelque chose d'autre pour vous, aussi. Désolé, c'est une autre horloge, sir,
On s'est un peu emmêlés... Stoody vous a pris ce cadeau et Spejer et moi l'autre...

 -Et bien, elle est vraiment superbe, mais je... Je crois qu'on devrait foutre le camp d'ici, eu... peut être plus tard.

 -Mais, sir, sir, Starvitch vous a pris ça aussi, il ne savait pas pour les autres... Elle est suisse !

 -Alors ça, c'est vraiment gentil Starvitch, brave homme !

 -Et il y a une carte, sir, de la part de nous tous.Désolé pour le sang, sir.

  -Merci à vous tous.

 -Squadron! Trois hourra pour le capitaine Biggs !

 -Hip hip, hourra! Hip Hip Houra! Hip Hip, aaaaargh !!!

 -Blacket, Blacket !

 -Ca va aller sir, ca va aller, juste une dernière chose... Spej', donne lui le chèque.

 -Ha oui !

 -Non, là ça va vraiment trop loin !

 -Je crois que je l'ai oublié dans le trou numéro 4 sir, je vais aller le chercher !

 -Pour l'amour de dieu, oubliez ça soldat !

...

...

 -Vous n'auriez pas du dire ça, sir. Vous avez heurté ses sentiments, maintenant.

 -T'en fais pas, Spej', les officiers sont tous les mêmes... A la minute, ils sont touchés et vous remercient, et la seconde d'après, ils vous crachent à la figure !

 -Oui, oui, ne lui donnons pas le gâteau !

 -Je ne veux PAS de gâteau !!!

 -Mais Blacket l'a préparé spécialement pour vous !

 -Oui, il a économisé ses rations pendant six semaines, sir!

 -Ecoutez, je ne voulais pas paraître ingrat...

 -Ca ira, sir, je Yaaarrrrghh !!!

 -Blacket, Blacket ! ... Regardez le, sir... Il a préparé ce cake sans le dire à personne!
Certaines nuits, il faisait tellement froid qu'on pouvait à peine bouger, mais Blacket était dehors, épluchant les citrons, mélangeant le sucre et la farine! Enfin, essayez de faire monter du beurre à quinze degrés en dessous de zéro !!! Il y a de la sueur pour ce cake, la sueur de cet homme, et son attention, et sa Aaaaaaarrhhh !!!

 -Ho mon dieu...

...

 -Espèce d'enfoiré !

... -Bon, d'accord ! Nous mangerons ce gâteau! Vous avez raison, c'est un trop bon gâteau pour ne pas le manger! Trouvez moi des assiettes et des cuillères, Walters!

 -Oui sir! Combien d'assiettes sir?

 -Six!

 -D'accord sir ! Aaaaarh!

 -Ho, heu, je vais en prendre cinq...

 -Une nappe, sir?

 -Oui, ramenez une nappe!

 -Aaaaaaaaaarg!!!!

 -Non, non, eu, je prendrais la nappe!

 -Ah, ramenez moi des fourchettes!

 -Aaargh!!! Et des petites serviettes, sir?

 -J'en ramènerais deux ou trois de plus au cas où!

 -Ok!"



[Article posté le Mercredi 7 Février 2007]

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