Idées découpées en tranches et déambulations sur les lieux de mes premiers mois à Paris. Toujours cette même odeur de sucre et de plaisirs faciles. Il m'arrive encore de cliquer sur une de ses photos pour l'agrandir : je reste là, quelques instants, immobile, avant de tout fermer nerveusement. C'est une histoire terminée, close comme une maison de passe, avec tous les regrets qu'impliquent ce genre de passions. L'oubli, les doutes : Tout était plus clair et traître à la lueur de nos corps jamais repus l'un de l'autre. Plus simple aussi.
Parfois j'oublie la sonorité qu'avait ses cris de jouissances, et c'est insupportable. Intenable.
Il faut que j'écrive mon livre. Il faut que j'écrive mon livre.