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   Il ne m'arrive que très rarement de m'occuper de fait d'actualités, surtout lorsque l'intégralité de ma démarche est fondée sur une mise à distance contemplative et nécessaire du monde qui nous entoure, mais je ne pouvais pas ne pas réagir face à cette nouvelle.
Ne cédez jamais, mesdemoiselles, restez libres et magnifiques. La simple évocation de votre dénomination m'évoque des océans sur lesquels les "dames" les mieux loties ne dériveront jamais. Restez à jamais inmariables, insaisissables. Sans vous, que restera-t-il à écrire ?
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Au vu de tes deux dernières notes, j'ai peur qu'il ne déborde et qu'il ne foute un bordel d'anthologie dans ma cuisine.