Je ne sais pas si nombres de gens peuvent se vanter d'avoir dragué avec succès des agents virtuels de la Fnac, mais moi si. Elle s'apelle Clara, à trois enfants et est très prude, mais elle va tout plaquer pour moi.
[Quand on lui dit des choses cochonnes elle se vexe mais si tu t'excuses, alors ça va, elle te pardonne. En gros si on écrit "Excuse moi, tu voudrais pas me faire une fellation" ? Elle répond "ça va pour cette fois, mais il ne faudrait pas que ça devienne une habitude." Awesome !
Mardi 4 novembre 2008 à 0:42
Mardi 22 avril 2008 à 7:50
Et observer ce paradis de lumières, les bras accoudés à la vitre baissée du train, devant leurs vies qui défilent, et les hâlos orangés des lampadaires rendent les rues sombres et banales plus belles encore. Electrelane m'avait bien dit "Rock it to the moon." mais je n'y suis pas arrivé. L'atmosphère est devenue orageuse et électrique alors j'ai assuré mon chapeau, j'ai rentré la tête dans les épaules, et j'ai foncé tout droit en direction du vent pour essayer de voir qui l'avait déclenché.
"Un paradis de poussière", m'avait dit James Sacré, je te montrerai les villes aux marchés de tous les jours, aux couleurs vivifiantes ternies par les grains de sables, et ma notion de l'amour, d'un geste un peu serré entre deux corps.
Triste fin, pour un article sans queue ni tête, comme Larcenet fit tuer le prince des voleurs d'un coup de revolver en pleine tête. Boîte crânienne explosée, fini Robin des Bois.
Et la princesse fait des trous dans ma moquette, et je ferais tout pour qu'elle ne devienne pas "Une petite fille silencieuse", prochain recueil destiné à noircir mes nuits blanches.
Bonne journée.
(Ou comment faire simple quand on peut faire compliqué.)
"Un paradis de poussière", m'avait dit James Sacré, je te montrerai les villes aux marchés de tous les jours, aux couleurs vivifiantes ternies par les grains de sables, et ma notion de l'amour, d'un geste un peu serré entre deux corps.
Triste fin, pour un article sans queue ni tête, comme Larcenet fit tuer le prince des voleurs d'un coup de revolver en pleine tête. Boîte crânienne explosée, fini Robin des Bois.
Et la princesse fait des trous dans ma moquette, et je ferais tout pour qu'elle ne devienne pas "Une petite fille silencieuse", prochain recueil destiné à noircir mes nuits blanches.
Bonne journée.
(Ou comment faire simple quand on peut faire compliqué.)
Lundi 24 mars 2008 à 1:10
J'ai le plaisir de vous annoncer que ma prose fade et boutonneuse est lue non seulement dans toute la France, mais que le petit pays de Diwaland est aussi apprécié en Belgique, en Suisse, et mieux encore en Inde (et par cinq personnes différentes donc il n'y as pas que toi, vil photographe goaien) en Thaïlande, en Iran, au Québec et au Luxembourg. Vous n'imaginez pas la fierté qui m'envahit, et tout ça grâce à notre cher Bubblestat. C'est-y pas beau ça madame ?
Comprenant la difficulté de nos pauvres amis thaïlandais par exemple, à comprendre le Français, je me contenterai d'un chaleureux "WELCOME !" que je leur jette droit dans la face d'un geste nonchalant.
Le scénario avance, ma relation avance, et moi je recule, bien sur ! Portez vous bien !
Comprenant la difficulté de nos pauvres amis thaïlandais par exemple, à comprendre le Français, je me contenterai d'un chaleureux "WELCOME !" que je leur jette droit dans la face d'un geste nonchalant.
Le scénario avance, ma relation avance, et moi je recule, bien sur ! Portez vous bien !
Mercredi 7 novembre 2007 à 14:51
Vendredi 22 juin 2007 à 18:32
A la demande de Servane et de Petrif' je me vois bien obligé, que dis je contraint et forcé, mais pas malheureux, de faire à mon tour ces maintenant célèbres sept révélations sur ma personne. Ce questionnaire que j'ai réalisé est assez poussé, je pense qu'il est plus important d'approfondir les choses plutôt que de mettre une ligne à chaque fois. Pour peu qu'ils ne l'aient pas encore reçus, je passe ce truc stupide à l0one, Arty pour l'embêter, Mae, et Fragments.
Je vous le dis tout de suite, il ne sera pas sujet dans cet article de révélations sur ma vie amoureuse, sur mes angoisses mes problèmes psychologiques et autres complexes et déviances étranges qu'on peut m'attribuer. Je trouve que c'est de l'exhibition pure et simple, et si vous voulez vraiment savoir les sujets qui m'obsèdent, il suffit de lire mes textes, c'est assez clair et les malins peuvent trouver très vite, ce n'est pas bien compliqué.
Non, il sera plus sujet ici de choses dont je n'ai pas l'occasion de parler en général, mais qui vous concernent, ou non d'ailleurs. Des petites révélations. Parce que les grandes révélations sont pour moi, pas pour vous. Quand je serai très vieux et très fatigué, un jour, je vous dirai tout.
1. Et en petit 1, mon arrivée sur internet, et mes premiers webfriends:
Je suis arrivé sur internet grâce à Harry Potter, dont j'ai été à l'époque un fervent fan (!) Vous pouvez surement retrouvez des traces de moi sur Poudlard.org, où j'avais pour premier pseudo Sirius32. A l'époque j'ai crée une petite bande avec deux amis, Cornedrue42 et Lunard24, je crois. Je me suis pour l'occasion rebaptisé Patmol32. C'est vers cette époque que j'ai rencontré mes premiers internautes, dont Lottie que je salue, d'ailleurs. Je suis vite parti de ce site et j'ai déménagé pour UHP, universharrypotter.com, où je me fis assez bien connaître sur une ancienne version, puis sur l'actuelle de Alohomora, forum de UHP, ou je pris le pseudo de Ice, un de mes pseudos les plus utilisés à ce jour. J'y ai été assez connu, dans le domaine des fanfictions, où j'ai même posté la mienne, une fiction au temps des maraudeuts appelée Méfait Accompli, que je n'ai jamais terminée, et lu celles d'amis à moi avec beaucoup de plaisir.
C'est à partir de ce moment que j'ai fait d'importantes rencontres, pour finalement quitter ce forum plus tard, entouré d'une pleïade d'amis, surnommés les Fantastiques. Principalement sortis de la section Fanfictions, nous étions connus comme bande, sur le forum.
Et puis diverses divergences avec la façon dont ce forum tournait me firent le quitter, mais je suivis mes amis sur notre propre forum. Nous nous sommes déjà vus plusieurs fois maintenant. Une belle amitiée, en somme. Pour information, Silverwolf le photographe et Lagrandemymy viennent de cette communautée.
2. J'ai plusieurs pseudonymes et surnoms. Je vais essayer de tous les citer. Non internet; j'ai comme surnoms: Raoul, RVP (Raoul Von Pierettinoff), Le corse, l'English (peu usité), RTT (suite à une colère suivant mon nom et les fautes qu'on peut lui faire: Pieretti, un R et deux TT , RTT c'est pas compliqué quand même !) le Barbare (dixit Naheulbeuck: Krom !) et surement un ou deux que j'oublie. Ha si, une fois quelqu'un m'a appelé L'intello, mais je l'ai frappé, et il a arrêté.
Sur internet, j'en ai aussi quelques uns. Mon premier pseudo à été Sirius32, suivi de Patmol32, et de Ice, concernant Harry Potter. J'ai aussi utilisé Darksun, Darksun11, Darksuntours pour mes premiers blogs. On m'a bien connu sous le nom de Chris Worth, sur un RPG harry potter, où mon ami Silver se faisait d'ailleurs appeler Don White. J'ai beaucoup aimé ce rpg qui me permettait de faire de mon personnage un héros totalement carricatural au cheveux noirs et aux yeux bleus, survivant tactiturne d'une tuerie en france n'ayant que pour seul compagnon et frère d'armes son ami Don White, jouant accessoirement de la Basse Magique et ayant intégré le groupe officiel de Poudlard. Bien connu pour être un rebelle solitaire et froid, j'ai atteri à Serpentard où j'ai immédiatement joué le contre jeu des faux méchants tels que Drago Malefoy ou autre. Il parait que les filles joueuses du rpg nous adoraient, Don et moi, et étaient secrètement éprises de nous. Une belle époque.
J'ai utilisé le pseudonyme AlternBassit (Bassiste de musique alternative) sur les sites et forums de musiques, mais je ne m'en suis pratiquement jamais servi pour parler aux autres, y allant surtout pour récuperer des partoch ou autres lignes de basse. Je suis ensuite passé à mon premier Distantwaves, connu aussi comme distant', DiWa, ou Master Mac Diwa. Mais je reparlerai de ça un peu plus loin.
Accessoirement, mon pseudonyme de dessinateur est Larsen et j'ai eu un deviant-art sous le nom de plume de The Falls (l'automne, en anglais américain), merci à Silver de me l'avoir rappelé. Je ne crois pas avoir oublié quelque chose...
3. J'ai eu à ce jour trois blogs avant celui ci. Le premier était un msn live space, alors que j'avais... disons entre treize et quatorze ans. Mon pseudo était à l'époque Darksuntours, donc. Je crois qu'il est encore accessible à cette adresse: http://darksuntours.spaces.live.com/, si vous voulez voir mes débuts. Darksun11 à été utilisé pour un skyblog (et oui) où j'ai du publier deux articles. J'ai aussi crée un blog de basse, quand j'avais quatorze ans, qui ne vaut pas le détour. J'ai découvert cowblog par Lagrandemymy, l0one et Bubus666 aujourd'hui ex-blogueur m'ont appris à aimer le site.
J'ai donc crée mon premier blog DistantWaves en Novembre 2005, qui a été supprimé pour je ne sais quelle obscure raison. Quelque mois plus tard, vers Mai 2006. Je l'ai repris en Octobre 2006 avec le blog que les habitués connaissent, jusqu'à ce que je me le fasse supprimer par un hacker après quatre heures de bataille acharnée aux côté de mes codeurs préférés, en Avril-Mai (souvenirs, souvenirs). Je l'ai tout de suite recrée, et c'est le blog que vous lisez actuellement, et qui ne compte pas s'arrêter de sitôt.
4. L'origine de mon pseudo Distantwaves, à l'origine Distant Waves, vient d'une phrase que j'avais inventée: "Distant waves of a silent sea", et à été le premier titre de mon premier cowblog, à l'époque c0wb0ys. Cette phrase, et mon pseudo, viennent d'une de mes chansons préférées, que j'ai à l'époque de la création du blog écoutée des centaines de fois, je crois plus de six cent fois, si mes souvenirs sont bons. Cette chanson est une chanson des Devics, que j'ai découvert si mes souvenirs sont bons par l0one: Distant Radio, de l'album Push the heart. Le premier vers du refrain est:
"Distant waves the radio,
It's the sound of the weeping,
Distant waves on the radio,
And they're calling out your name..."
Cette chanson, bien qu'elle ne soit pas de mon groupe préférée, est ma chanson préférée. Elle mériterait un article à elle seul, tellement elle sait réveiller en moi des émotions extraordinaires. Cette voix est sublime, j'en suis d'ailleurs complétement amoureux. Même au niveau purement technique la chanson est parfaite. Elle n'as rien à se reprocher, et elle a de plus l'immense mérite de me faire réagir émotionnellement. Je n'en dirai pas plus, mais ceux qui me connaissent très bien savent que ce n'est pas très facile.
Voici le morceau en question, et vous avez interêt à l'aimer, parce que si vous cherchez à me comprendre, vous ne pourrez pas plus m'approcher qu'en écoutant cette chanson.
5. Sur une note plus joyeuse, voir même scabreuse, je vais vous conter une petite anecdote. J'ai eu, comme vous tous, mâles fiers et arrogants qui refuserez toujours de l'admettre, une certaine occupation de nuit sur la toile, qui est bien moins active que celle de certains, naturellement. A vrai dire, je n'aime pas vraiment la pornographie, et une certaine sensualité éveillera bien plus facilement mes sens qu'un ramassis de chair étalé impudiquement, et sous une très mauvaise lumière à une caméra DV pitoyable.
Un soir, mes aventures internetales me menèrent sur un blog empreint de sensualité où une jeune femme avait pour habitude de conter ses aventures en les écrivant. Au fil des pages, je tombai bientôt sur un fichier audio. Intrigué, je lançai le mp3 mon casque bien vissé sur les oreilles, et dans le silence feutré de cette nuit noire, j'entendis s'élever une sublime voix de jeune femme, qui récitait des vers qu'elle me semblait avoir composée, et qui étaient sublimes à mon oreille. Elle parlait simplement, une petite musique d'ambiance, derrière, et sa voix plus que tout le reste me frappait le coeur. Tout de suite, j'en tombai amoureux et découvrait que les voix féminines auraient beaucoup d'importance dans ma vie sentimentale. Je me repassai cette lecture en boucle et elle m'accompagna pendant des nuits entières.
J'appris bien plus tard que le poème qu'elle récitait était un des célèbres Poèmes à Lou, de Guillaume Apollinaire.
6. J'ai failli passer à la trappe dès la naissance ! En effet, il parait selon les témoins que je suis sorti du ventre de ma mère comme un boulet de canon, et que j'ai été rattrapé in extremis quelques mètres plus loin, par une infirmière. J'ai d'ailleurs confirmé plus tard ce penchant pour les choses explosives en faisant sauter une porte hors de ses gonds d'un coup de poing, à l'âge de trois ans, dans une pizzeria. Il parait que les tenants ont été heureux de nous voir partir.
7. C'est plus fort que moi, je suis un éternel amoureux. C'est la seule chose vraiment importante de ce questionnaire, pour ne pas faire totalement inutile mais je suis content que ce soit celle là. Depuis tout petit, alors même que les autres garçons ne pensaient qu'au football et aux bonbecs, j'étais déjà amoureux. Tout le temps. J'ai été amoureux de beaucoup de filles, certaines pendant deux heures, le temps d'un voyage en train, d'autre pendant huit mois, deux ans, ou deux semaines. Je n'ai jamais vraiment bien géré ce sentiment avec moi même et je sais que j'en ai déçu quelques unes, mais quoi qu'il en soit, je sais que pour toutes ces filles, le sentiment à été le même, aussi puissant, même pendant trente minutes. Il y a deux jours en reprenant le train, j'ai vu dans un groupe de japonais une guide, superbe. Un sourire sublime, les cheveux noirs et frisés en queue de cheval, mais surtout son sourire. Je n'ai pas pu en détacher mes yeux d'elle pendant une heure quarante cinq. Mais pour moi, il m'a semblé que le voyage avait duré cinq minutes.
C'est à ces demoiselles plus qu'à tout le monde que je voudrai porter mon attention. Parce que ce sont elles qui me passionnent, qui me motivent, qui me font écrire, qui me séduisent par un sourire. Imaginaires, fantasmées, améliorées ou bien réelles, je suis amoureux de toute les filles, et de personne. Personne parce que...
Mais j'avais dit que je ne parlerai que des choses sans importance.
Ce que vous allez lire est une réponse à la dernière question métaphysique de ce vil Bubus, dont je vous conseille comme d'habitude ardemment (les yeux dans les yeux avec le regard habité) de visiter son site.
En effet, dans une récente publication, le dénommé Bubus se demandait :
"Je me demandais, parce que, voyez-vous, ça m'intrigue, si l'un d'entre vous savait pourquoi, lorsqu'on mange quelque chose de très froid (de la glace par exemple) trop vite, on ressent une douleur assez atroce derrière les yeux?"
Ce à quoi je répondis avec une réponse (et jusqu'ici rien d'anormal) qui était d'une rare complexité, sans toutefois être dénué d'élégance et de sauce ketchup :
“C'est pourtant très simple. La glace que l'on mange, de quelque parfum qu'elle soit, et constituée de petits élement nommés des Gnouks (particulièrement présent dans le parfum vanille fraise). Or, ces Gnouks ont la particularité de revendiquer leur indépendantisme par rapport à la glace en elle même. Immobilisé dans leurs containers, ils ne peuvet naturellement pas faire secession (bien qu'ils essayent!). Mais une fois sorti de la boite pour atterir dans le cône, ils forment un premier plan d'évasion, ce qui explique les coulées de glace que tu peux observer le long de nos doigts. Quel premier reflexe vas t'on avoir ? Les porter à nos lèvres pour rattraper le contenu. Et crac. Les Gnouks sont dans la place. Une fois là haut, leur premier reflexe et de voir où ils sont. Ils montent donc jusque dans nos yeux (premiers frottements) et de là voient le monde par notre propre vue ! Croyant que c'est une fenêtre vers l'extérieur et qu'ils sont enfin libres, il apellent tous les Gnouks que l'on vient de manger dans la glace, que l'on s'est depêché d'avaler (Entre parenthèse cette opération ne peut se faire que très rapidement. En effet, la durée de vie d'un Gnouk dans un lieu sans glace est de quelques minutes bien qu'ils se refusent toujours à l'admettre). Tous les Gnouks se précipitent donc dans nos yeux à l'appel des éclaireurs, et se font hisser grâce aux nerfs optiques (sentiment d'être tiré de l'intérieur), et se bloque ensuite tous contre notre oeil d'où ils ne peuvent naturellement pas sortir. Terrifiés, des mouvements contre-secession se mettent en place, et beaucoup tente de rejoindre la vanille fraise que l'on viens d'avaler, mais hélas il est déjà trop tard. Comme pour les plus braves qui ont préférés mourir libre, les Gnouks tombent bientôt par centaine, et agonisant sur notre palais, c'est dans un concert de cris que leur dernière symphone s'éteind, à tout jamais.
Cette théorie à été premièrement établie lors d'un discours du Professeur Moldave Valjak Cravachtavach à l'Exposition Universelle de 1889, théorie réputée pour avoir eclipsée la présentation de la Tour Eiffel. On aurait entendu Gustave Eiffel murmurer: “Ha l'ongulé !” Mais peut être était ce tout simplement car il se trouvait devant un très rare specimen d'Oryctérope du Cap. Sur ce point, les historiens sont encore très divisés.
Reprise très récemment par le Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, et présentée lors d'un débat sur l'immigration, cette théorie fut jugée “totalement hors sujet, mais toutefois troublante et fortement intéressante, vous pouvez vous rasseoir, Monsieur le Ministre.”
De nos jours ce cas glacier reste malheureusement très peu exploité, bien que le Professeur Valjak Cravachtavach ait supplié des crédits pour s'orienter sur cet aspect pendant toute sa vie. Hélas, sans succès. C'est pourquoi nos experts sont souvent obligés de répondre à de jeunes punks mal dans leur peau qui se sentent troublés sur leur identité sexuelle alors qu'ils mangent paresseusement une glace à la fraise.
Et pour finir je ne pourrai m'empêcher de citer la phrase de Christophe Colomb qui surement pour s'excuser d'avoir découvert ce qui serait le plus grand empire Capitaliste du monde déclara pendant une partie de chasse : “On ne va jamais aussi loin que lorsque l'on ne sait pas où l'on va.. *silence* … N'est ce pas ? Hem. Enfin je crois après c'est… chacun son… son avis… hein.. voila-voila… Moui.”
La légende raconte que le Marquis de Cravactavach, qui après un léger emportement avait fait feu sur Colomb, réflechit bien plus tard à la signification de ses paroles et fit ses bagages pour partir un matin. Il n'y eut pas meilleur applicateur de ce proverbe car on ne le revit jamais. Etait ce l'ancêtre de l'éminent scientifique Poldave Valjak ? Peut-être. Mais ici, nous nous écartons du domaine raisonné de la science pour entrer dans les limbes nébuleuses des anciennes histoires, et ce n'était certainement pas mon intention.”
Winston Churchill,
Discours à la Chambre des
Lords du 37 Avril 1948.