Continuer à se décharger des dépressions habituelles, ici. Je me suis allongé sur le sol et j'ai contemplé une araignée envelopper une de ces coccinelles chinoises qu'on voit de plus en plus, dans sa toile. Je n'ai rien ressenti pour qui que ce soit. Le bois de mon fauteuil à écrire était presque réconfortant, de cette perspective là. J'aimerai que le chien du tableau de Kyffin Williams sorte, et vienne me lécher la main, me réconforter. Je l'écris, mais parfois, ça n'est juste pas pareil.
Je vais encore aller m'asseoir contre la clôture du voisin, et attendre son chien magnifique, un oeil brun, et l'autre bleu électrique, le pelage noir, intégralement, et puis attendre, avec lui, attendre encore, quoi, je n'en sais rien.