" J'ai l'impresson d'être un lion en cage. "
Alors pourquoi signer.
Mardi 6 mai 2008 Ã 19:49
Lundi 5 mai 2008 Ã 19:54
A commencer, ce n'est pas moi qui ait écrit l'article d'avant.
Ensuite ce n'est pas que j'adore avoir des foules de commentaires ébahis par mon talent (si.), mais pour ceux qui ont aimés mes quelques photos postées ici, je viens de mettre à jour mon Deviant Art avec quelques nouvelles photos...
Ensuite ce n'est pas que j'adore avoir des foules de commentaires ébahis par mon talent (si.), mais pour ceux qui ont aimés mes quelques photos postées ici, je viens de mettre à jour mon Deviant Art avec quelques nouvelles photos...
EN GROS, C'EST ICI.
S'y trouvent les dernières photos que j'ai effectuées, donc, avec l'un des appareils de mon frère qui a le bonheur de faire des photos artistiques tout seul.
Lundi 5 mai 2008 Ã 16:02
Oui elle déconne.
Elle déconne bien même.
Dimanche 4 mai 2008 Ã 15:11
Passant pas mal de temps à l'extérieur, j'ai commencé à prendre l'habitude de photographier toute inscription ou streetart graphé sur les murs, sol, ou autre support et que l'on aperçoit souvent en passant, sans y faire attention. Je n'ai malheureusement sur le moment que mon portable et sa définition m*dique, pour ne pas dire merdique, pour prendre des photos. Je songe à m'acheter un léger numérique pour commencer à photoer. Sinon je risque de mettre mon Deviantart à jour avec quelques photos effectuées avec le bon appareil de mon frère photographe de son état, car il est payé, c'est en tout cas sa définition du professionalisme, et là je m'accorde un ixday. *Reprenons notre souffle.* Donc voilà :
-Pour commencer, tout bon parisien qui se respecte avec un minimum de sens artistique n'aura pu que remarquer la grande innovation, la beautée et l'expérience unique qu'offre le sol de la place carrée des Halles. Personne n'y prête attention, mais c'est vraiment, vraiment beau, et assez unique dans son genre. Une sorte de tendre dédicace à la ville du point de vue d'un artiste, poète aux mots étranges mais savoureux. Je ne vous fais pas attendre plus longtemps :
Enfin, ma préférée :
Je trouve cette phrase particulièrement sublime, simple et poétique : "Quai de celles qui l'ont fait..." Vraiment, c'est sublime.
Je trouve aussi, aux hasard de mes pérégrinations, quelques inscriptions qui valent le coup d'être lues.
On ne voit pas la gauche de la photo, mais les moutons sont tagués sur tout le wagon. Assez frappant, lorsqu'on y rentre et que l'on voit que les moutons tagués à l'extérieur sont effectivement présents, journaux, malettes et portables à la main...
"This fence around your garden won't keep the sky from falling" A peu près: "Cette barrière autour de ton jardin n'empêchera pas le ciel de s'effondrer." Ca me plaît bien qu'il soit rappelé aux gens de temps en temps que leurs barrières les plus dérisoires ne sont rien par rapport à l'immensité de la nature. Don't forget.
Vu à côté d'une école.
Fresque sous un pont à Bruges. C'est là que je regrette le plus de n'avoir aucune qualité sur mon portable, parce qu'elle valait, en entier, vraiment le coup d'oeil.
Enfin celle ci, qui me plaît beaucoup, située à côté du centre histoire de Bruxelles, sur une facade horrible en construction, dans un chantier.
Cela me donne de plus en plus envie de me lancer dans le pire de l'art...
-Pour commencer, tout bon parisien qui se respecte avec un minimum de sens artistique n'aura pu que remarquer la grande innovation, la beautée et l'expérience unique qu'offre le sol de la place carrée des Halles. Personne n'y prête attention, mais c'est vraiment, vraiment beau, et assez unique dans son genre. Une sorte de tendre dédicace à la ville du point de vue d'un artiste, poète aux mots étranges mais savoureux. Je ne vous fais pas attendre plus longtemps :
Enfin, ma préférée :
Je trouve cette phrase particulièrement sublime, simple et poétique : "Quai de celles qui l'ont fait..." Vraiment, c'est sublime.
Je trouve aussi, aux hasard de mes pérégrinations, quelques inscriptions qui valent le coup d'être lues.
On ne voit pas la gauche de la photo, mais les moutons sont tagués sur tout le wagon. Assez frappant, lorsqu'on y rentre et que l'on voit que les moutons tagués à l'extérieur sont effectivement présents, journaux, malettes et portables à la main...
"This fence around your garden won't keep the sky from falling" A peu près: "Cette barrière autour de ton jardin n'empêchera pas le ciel de s'effondrer." Ca me plaît bien qu'il soit rappelé aux gens de temps en temps que leurs barrières les plus dérisoires ne sont rien par rapport à l'immensité de la nature. Don't forget.
Vu à côté d'une école.
Fresque sous un pont à Bruges. C'est là que je regrette le plus de n'avoir aucune qualité sur mon portable, parce qu'elle valait, en entier, vraiment le coup d'oeil.
Enfin celle ci, qui me plaît beaucoup, située à côté du centre histoire de Bruxelles, sur une facade horrible en construction, dans un chantier.
Cela me donne de plus en plus envie de me lancer dans le pire de l'art...
Mardi 29 avril 2008 Ã 18:59
Je suis parti samedi, sans presque rien prévoir, dans le sud de la France. Je vous écris donc cet article entre les vignes et la mer, pour vous assurer de mes meilleurs sentiments. La spectaculaire absence de toute connexion internet, réseau téléphonique et autre accès au monde moderne de l'endroit où je loge -bien qu'on y fasse une excellente cuisine- ne m'as pas laissé de quoi vous répondre, et m'interdit même de l'appeler en soirée, ce qui est assez exaspérant, pour ne pas dire plus. Je n'ai pas particulièrement envie de rentrer, mais je préférerais qu'elle soit là , tout de même.
Ne pouvant rien faire de mes journées, j'écris donc, projet, scénarios et coup de fils de Spielberg (Harold, son frère) affluent donc sur ma table de travail. Enfin c'est vrai qu'en ce moment je bosse pas mal, tout de même. Là je suis reparti, après avoir livré un court métrage, pour en écrire un autre, je continue mon scénario de bande dessinée, et j'écris des sketchs entre les deux pour me détendre.
Si j'écoutais de la musique classique plus souvent, j'aurais pu donc faire cette boutade imbécile:" A quelque chose, Malher est bon."
Sinon c'est décidé, sitôt mon permis passé, ceci est à moi.
Ainsi je pourrai faire vroum-vroum sur les routes de France, et j'aurais sacrément la sse-cla, comme on dit dans ma banlieue de 200 habitants. (34 après les jours de grande chaleur.)
Adieu donc, belle Eugénie et autres lecteurs.
Ne pouvant rien faire de mes journées, j'écris donc, projet, scénarios et coup de fils de Spielberg (Harold, son frère) affluent donc sur ma table de travail. Enfin c'est vrai qu'en ce moment je bosse pas mal, tout de même. Là je suis reparti, après avoir livré un court métrage, pour en écrire un autre, je continue mon scénario de bande dessinée, et j'écris des sketchs entre les deux pour me détendre.
Si j'écoutais de la musique classique plus souvent, j'aurais pu donc faire cette boutade imbécile:" A quelque chose, Malher est bon."
Sinon c'est décidé, sitôt mon permis passé, ceci est à moi.
Ainsi je pourrai faire vroum-vroum sur les routes de France, et j'aurais sacrément la sse-cla, comme on dit dans ma banlieue de 200 habitants. (34 après les jours de grande chaleur.)
Adieu donc, belle Eugénie et autres lecteurs.