Lundi 26 janvier 2009 Ã 22:56
   Et voilà grâce aux efforts de Makiling, un tout nouvel habillage avec une bête de photo de, je vous le donne en mille, Danny Griffith au piano qu'il est tout beau tout classe. Il sera un peu amélioré normalement, au fil des jours, mais oui, il a la classe. Sur ce post rapide, je vous laisse. Si vous voulez parler de sexe dans les commentaires, je vous en prie.
Vendredi 23 janvier 2009 Ã 23:51
  Il a plu toute la journée. Un vent froid et glacial a balayé toute la place, emportant au loin les tuiles, les gens, les parapluies. Derrière son écharpe, le petit garçon s'est protégé. De quoi, il ne sait plus trop. Il est resté un peu dans le brouillard toute la journée. Le matin, il a été triste, et il est sorti en chemise dans la pluie et les bourrasques. Quand il est revenu, le vent l'avait fait pleurer, ça lui faisait comme deux traces rouges au coin des yeux.
A quatre heures, il a observé ces congénères s'entredéchirer, s'agresser, crier, pleurer. Il est resté sans rien faire, un écouteur dans une oreille, déjà à moitié parti. Il est allé réconforter une de celles qui se battaient, elle s'est mise à pleurer, parce que rien ne va plus pour tout le monde. Ca l'a fait rire doucement, que ce soit tant le bordel, partout autour de lui. Derrière les fenêtres, la lumière si étrange et éclatante de l'orage resplendissait sur les facades. Quand il est sorti, personne ne s'en est rendu compte, et personne ne lui a dit au revoir.Â
Une fois à l'extérieur, il a allumé une cigarette, et il est descendu vers la ville. En marchant, il a croisé celui qui devait lui exploser la tête depuis quelques temps. L'autre est passé sans rien faire, en lui jetant un regard par en dessous. Décidément, le petit garçon s'est mis à penser à quel point la vie était étrange.
 Seul avec sa musique, il s'est senti bien mieux, alors que tout se cassait la gueule autour de lui.
A quatre heures, il a observé ces congénères s'entredéchirer, s'agresser, crier, pleurer. Il est resté sans rien faire, un écouteur dans une oreille, déjà à moitié parti. Il est allé réconforter une de celles qui se battaient, elle s'est mise à pleurer, parce que rien ne va plus pour tout le monde. Ca l'a fait rire doucement, que ce soit tant le bordel, partout autour de lui. Derrière les fenêtres, la lumière si étrange et éclatante de l'orage resplendissait sur les facades. Quand il est sorti, personne ne s'en est rendu compte, et personne ne lui a dit au revoir.Â
Une fois à l'extérieur, il a allumé une cigarette, et il est descendu vers la ville. En marchant, il a croisé celui qui devait lui exploser la tête depuis quelques temps. L'autre est passé sans rien faire, en lui jetant un regard par en dessous. Décidément, le petit garçon s'est mis à penser à quel point la vie était étrange.
 Seul avec sa musique, il s'est senti bien mieux, alors que tout se cassait la gueule autour de lui.
Jeudi 22 janvier 2009 Ã 21:13
   Le garçon passe et repasse dans les rues et les allées, les même questions en tête.
Les seules choses qui en sortent sont des mauvaises pensées.
Les seules choses qui en sortent sont des mauvaises pensées.
Lundi 19 janvier 2009 Ã 1:31
  Parce que je suis handicapé des mots, qu'ils ne peuvent venir correctement qu'à l'écrit, mais jamais à l'oral, jamais quand il faut être sérieux, quand il faut parler de sentiments, être pertinent, être là .Â
"Je ne sais pas quoi dire". Des phrases interrompues, au milieu, des "et... voilà " pour masquer le fait que rien ne nous vient, qu'on n'arrive à rien, qu'encore une fois, on n'est pas à la hauteur. C'est minable. Ceux qui me connaissent me diront mais non voyons, tu tchatches tout le temps. Mais qu'est ce qu'il y a derrière cette loghorée verbale ? Rien, du vent un mur. Essayez de me parler d'un sujet quelque peu intime, ou lié au sentiment, sans détour, sans pirouette, sans que je me cache derrière une grande tirade de mannequin de paille. Vous me verrez alors vraiment comme je suis. Faible et ridicule. Pitoyable.
Encore une fois je n'ai pas été à la hauteur. Même après qu'on m'ait dit comment faire je n'ai juste pas su, pas pu être pertinent, parler au bon moment, lui demander. Je n'ai pu qu'attendre et entendre sa voix lasse et peinée me dire elle même ce qu'elle aurait voulu que je lui demande, intéressée, une preuve d'amour que je voit même pas.Â
Ce que je me déteste.
"Je ne sais pas quoi dire". Des phrases interrompues, au milieu, des "et... voilà " pour masquer le fait que rien ne nous vient, qu'on n'arrive à rien, qu'encore une fois, on n'est pas à la hauteur. C'est minable. Ceux qui me connaissent me diront mais non voyons, tu tchatches tout le temps. Mais qu'est ce qu'il y a derrière cette loghorée verbale ? Rien, du vent un mur. Essayez de me parler d'un sujet quelque peu intime, ou lié au sentiment, sans détour, sans pirouette, sans que je me cache derrière une grande tirade de mannequin de paille. Vous me verrez alors vraiment comme je suis. Faible et ridicule. Pitoyable.
Encore une fois je n'ai pas été à la hauteur. Même après qu'on m'ait dit comment faire je n'ai juste pas su, pas pu être pertinent, parler au bon moment, lui demander. Je n'ai pu qu'attendre et entendre sa voix lasse et peinée me dire elle même ce qu'elle aurait voulu que je lui demande, intéressée, une preuve d'amour que je voit même pas.Â
Ce que je me déteste.
Lundi 12 janvier 2009 Ã 22:54
   Mes très chers concombres des alpages, je vous poste ce soir une très belle chanson de dEUS que je m'écoute en boucle depuis deux jours maintenant et qui vient de rejoindre mon top 25 hier.Â
Sinon quelles sont les nouvelles du front... C'est fou comme les cours ne m'intéressent pas, je commencerai presque à trouver mon cas intéressant tellement c'est poussé ces dernier temps. Ca ne me dérange pas plus que ça, vu que je n'en ai absolument rien à faire. A vrai dire j'ai trop de choses à bosser en ce moment pour m'intéresser aux élucubrations vagues et brumeuses des grandes personnes. Je me réfugies donc dans le "bwarf poussé" en compagnie de mon acolyte Bastien, avec qui je passe mes journées à buller en cours. Mais QUE en cours, parce que back home (where the heart is) je ne chôme point. Notamment un petit projet perso que je viens de lancer, et dont je vous reparlerai peut-être plus tard, selon l'importance qu'il prend.
J'ai hâte d'être mercredi, on travaille la nouvelle chanson avec le groupe, du bon son en perspective. Dans l'idéal il nous faudrait un batteur mais trouver un type de notre âge, habitant à Provins ou alentours, batteur, fan de post rock Porgressive, convaincu que Archive sortent de la cuisse de Jupiter, etc etc, ce n'est pas extrêmement facile. Si vous correspondez au critère écrivez moi, sinon allez vous faire foutre. A vrai dire si vous êtes batteur, écrivez moi.
Sur ce,
Sinon quelles sont les nouvelles du front... C'est fou comme les cours ne m'intéressent pas, je commencerai presque à trouver mon cas intéressant tellement c'est poussé ces dernier temps. Ca ne me dérange pas plus que ça, vu que je n'en ai absolument rien à faire. A vrai dire j'ai trop de choses à bosser en ce moment pour m'intéresser aux élucubrations vagues et brumeuses des grandes personnes. Je me réfugies donc dans le "bwarf poussé" en compagnie de mon acolyte Bastien, avec qui je passe mes journées à buller en cours. Mais QUE en cours, parce que back home (where the heart is) je ne chôme point. Notamment un petit projet perso que je viens de lancer, et dont je vous reparlerai peut-être plus tard, selon l'importance qu'il prend.
J'ai hâte d'être mercredi, on travaille la nouvelle chanson avec le groupe, du bon son en perspective. Dans l'idéal il nous faudrait un batteur mais trouver un type de notre âge, habitant à Provins ou alentours, batteur, fan de post rock Porgressive, convaincu que Archive sortent de la cuisse de Jupiter, etc etc, ce n'est pas extrêmement facile. Si vous correspondez au critère écrivez moi, sinon allez vous faire foutre. A vrai dire si vous êtes batteur, écrivez moi.
Sur ce,
Include Me Out:
Where have i seen this before?
When will i feel it again?
Somebody opened a door
I'm afraid to walk in
Imagination will kill
If imagination stands still
I read it in open book
read it in open book
Oh man, i read it in books of laughter
Oh man, i read it in books of pain
What are you talking to me
Cause i'm not really there
Like a spirit that's free
I'm as light as the air
Oh man, i'm as light as the air and floating
Oh man, i'm as light as the air and floating
Take me on
Where the fire winds blow
Of where a fallen leaf stays
for days
on your shoulder
Cause all i need
Is to find my own
And that summering drone
Illicit and golden
Oh lord where have i seen this before
Oh lord when will i feel it again
Read it in every move
Read it in every game
Read it in what you do
Read it in everything
Oh man, as light as the air and floating
Oh man, as light as the air and floating
Take me on
Where the fire winds blow
Cause when time stands still
I wait until
It's over
And all i need
Is to find my own
And the summering drone
Illicit and golden.
Â
Where have i seen this before?
When will i feel it again?
Somebody opened a door
I'm afraid to walk in
Imagination will kill
If imagination stands still
I read it in open book
read it in open book
Oh man, i read it in books of laughter
Oh man, i read it in books of pain
What are you talking to me
Cause i'm not really there
Like a spirit that's free
I'm as light as the air
Oh man, i'm as light as the air and floating
Oh man, i'm as light as the air and floating
Take me on
Where the fire winds blow
Of where a fallen leaf stays
for days
on your shoulder
Cause all i need
Is to find my own
And that summering drone
Illicit and golden
Oh lord where have i seen this before
Oh lord when will i feel it again
Read it in every move
Read it in every game
Read it in what you do
Read it in everything
Oh man, as light as the air and floating
Oh man, as light as the air and floating
Take me on
Where the fire winds blow
Cause when time stands still
I wait until
It's over
And all i need
Is to find my own
And the summering drone
Illicit and golden.
Â
Oui, cette chanson à une intro magnifique. Salut les zouzous.
Â